Mythologie hébraïque en 3ème classe

Dans un article de la fédération Steiner Waldorf consacré à la place des religions et de la spiritualité au sein de la pédagogie Steiner-Waldorf,  on explique que l’on accorde dans nos écoles « une large place au patrimoine spirituel de l’humanité (contes, fables, faits religieux, mythologies fondatrices des grandes civilisations et des grandes religions) pour nourrir l’imagination et la vie intérieure, mais également pour s’ouvrir à une grande diversité de conceptions du monde. Cela deviendra alors plus tard nourriture de l’esprit critique de l’enfant, cruciale pour la construction qu’il entreprend de lui-même et l’édification de sa personnalité. »

En troisième classe, l’enfant commence à prendre une conscience beaucoup plus aigüe de son individualité au sein du monde, et il doit avoir les clefs pour lui donner un sens. L’étude des grandes mythologies fondatrices de nos civilisations l’aideront dans sa quête de sens.

Voici le cahier d’un enfant de troisième classe – un peu déçu de n’avoir que deux consonnes à son prénom : il est passé de six à deux lettres quand il l’a écrit en hébreu, sur la couverture au dos de son cahier pour respecter les usages !

Et comme toujours dans notre école, l’art est au coeur de la pédagogie, nos aquarellistes en herbe se sont surpassés pour illustrer ce mythe fondateur :